Chapitre 3: At the crossroad

Lors d’une chaude journée d’été, l’Homme un étui de guitare à la main et son veston dans l’autre marche sur le bord d’une route déserte. Peine à voir le bout de cette voie, il marche encore et encore sur la chaussé bouillante des éruptions solaires qui traverse l’espace. La fatigue et la soif grandissante en lui, se consumant par ce désire de vivre, l’homme fini par tomber. À peine ses genoux touchent le sol, le temps d’un clin d’oeil, un tout nouveau décor se présente à lui.

Devant lui, la symétrie, l’ordre, le savoir, la peur, assis devant lui à une petite table ronde couverte d’un drap noir. Une forêt où les arbres ne vivent que pour leur bois, où ils sont destiné à disparaitre, à tomber dans l’oubli, placé dans une cage égale à la force de leur racine. Le Diable est là, faisant signe à l’Homme de s’assoir.

Le Diable pointe ensuite la table indiquant deux choix. 20 cartes représentent deux destins, ces deux possibilités sont séparés d’une boule de cristal. Le premier choix est de reprendre la route et d’être gardien de son âme. Le deuxième représente un pacte.

Tu brilleras de mille feux, tu seras idolâtré, aimé d’une manière inconditionnelle par les dieux. Un présent chargé d’un future flamboyant. De loin marchant vers eux, 2 entités portant un objet. Un instrument de désir, versant ces pleurs par son doux chant dans l’étang de nos sens. Un morceau de bois sculpté pour communiquer avec l’essence même de ce qui défini l’âme. Une guitare marquée par le temps lui-même. Lorsque le démon détourne le regard, l’homme d’un geste subtile subtilise un object sur la table. Un briquet imprégner d’un jeu de carte.

L’Homme regarde ensuite au travers de cette sphère qui se présente comme un oeil qui le vois comme il peut voir au travers. Une porte sur le destin qu’elle pointe. D’un côté, lui montrant la croisé des chemins. Des voies interminables qui ne mène à rien. L’homme fait donc le choix d’accepter l’offrande et dès que la paume de sa main se dépose sur l’instrument, la nature fait place au béton. Lui laissant comme seul souvenir, l’offrande en question. Se sentant prisonnier de cette mer de métal et de pierre, Il aperçois une porte qui l’interpelle. Il entre dans l’établissement vide. Un bar avec un seul occupant voulant être divertis. Le Diable qui s’arrange pour faire vivre cette passion en l’homme comme une marionnette. Rien ne peut apaisé la douleur infligée par cette objet qui le brûle comme le drogué qui meurt pour sa dose.

Une femme entre dans le bar.

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