Passant devant un bar, Karma perçois une présence dans l’établissement malgré l’absence de vie. En ouvrant la porte, un décor du passé apparaît devant elle montrant l’homme donnant une performance pour une seul entité au mille noms. Le diable admirant sa proie qui est sur scène vivant le moment présent. Karma s’approche et se laisse envouter par ce rythme entrainant comprenant que les lois ont été violées. Une faute qui va entrainer l’homme dans la déchéance. Le regard de Karma n’est pas indulgent face au choix qui ont pu être influencé. L’homme doit apprendre. Elle va donc rétablir l’équilibre comme étant esclave de son objectif. Cela donne une vision machinale d’un univers gérer par les instincts, la limite entre l’animal et la machine. L’effet papillon qui recommence son cycle encore et encore.