Chapitre 1: Paradise
La notion du temps permet d’insinué qu’il y a un début, une fin, et un entre deux, un chemin remplie de boucle. On peut voir l’une de ces boucles devenir le débat d’une vie l’amenant à la mort. Une fatalité écrite dans la pierre par les différents choix que l’on prend. Un équilibre maintenu depuis que la conscience est monde. Cette conscience qui par l’entremise de ce cycle fait confiance en l’apprentissage de l’homme. Un cadeau pour notre épanouissement spirituel. Un cadeau aussi fragile que le calme d’une eau stagnante. Une femme brûlant d’un charisme insoutenable; Karma.
Ingénieur de la stimulation des sens, serpent enjôleur gravant sa patine dans toute la gracieuseté de l’âme, il y dépose tranquillement son doigt pour rendre un environnement trouble. Tout cela avec des cadeaux, du pouvoir, la gloire; une vision du monde où le bleu fini par se perd dans l’ombre; le Diable.
Il manipule les lois de l’empathie pour prouvé un point. L’homme n’est qu’un animal en recherche de bût flottant dans une masse de gaz aveuglé par ses propres sens. Des sens qui ne leur est pas donné de comprendre, d’accepter, comme une prison pour l’inconnu. Ils appréhendent ce cadeau comme une peste et ils appellent cela la peur. Cette masse au ventre qui brûle l’espoir. De simple fourmis doté d’une capacité d’analyse trop limité pour avoir une véritable vue d’ensemble sur ce qui l’entoure vraiment.
Pour Karma, les boucles traces un chemin aride pour le savoir, mais plus sage et bienveillant sont ceux qui ouvre leur regard sur leur peur. Comme une seconde naissance après l’acceptation de la mort. L’équilibre nous est présenté sous forme de porte. Ces portes sont difficiles à voir même avec l’aide de l’expérience de ceux qui nous ont précédés. Mais un jour, un choix se présente où l’homme peut ouvrir la porte ou recommencer la boucle. Une étape à la fois.